Entre les mondes
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 So what ?

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April
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April
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MessageSujet: So what ?    So what ?  Icon_minitimeSam 20 Aoû - 9:31

Les voitures déboulant dans le grand boulevard menant au 120 East Delaware Place bourdonnaient comme un essaim quasi jaune de taxis fumants.
Un imposant passant donna un coup d'épaule à la rouquine qui traçait, tenant un grand type brun un peu décoloré par le bout des doigts.

- Bon sang, ils pourraient faire un peu attention ! râla nerveusement celle-ci en resserant le col de son blouson de cuir brun.

La grande entrée feutrée de rouge et ses immenses vitrées lisses et impeccables se proflèrent enfin sous leurs yeux.

- On y est. Le Four Seasons.

April s'avança devant la large porte que tenaient les grooms.

- Après toi.

Quand elle fut rentrée, elle indiqua à Alaric de la suivre jusqu'à l'ancienne suite de Ray, léguée à Lisa.

Poussant la porte d'entrée de ses quartiers, elle trouva la commande qu'elle avait passée, posée sur une table en verre dans trois grandes boîtes estampillées d'une marque de luxe, à côté d'une grande composition florale et de chocolats Godiva.
Il faut dire que Lisa était une cliente plutôt soignée depuis qu'on savait qu'elle possédait ces droits sur Mundo Mio, l'entreprise de son défunt mari.

L'éétudiante attrappa l'une des boîtes et la tendit à Alaric.

- J'ai pris soin de te choisir ça. Le dressing est au fond à droite. On se retrouve dans cinq minutes.

Elle s'empara de la dernière boîte et partit avec Judith se changer dans une des grandes chambres de la suite.

//////////////////////////////////////////////////////

La grande psyché de la chambre renvoyait le reflet de deux jeunes femmes, blanches comme le lait, savamment drapées dans une identique large robe de ball en bustier dévoilant généreusement épaules et décolettés, dénudant les bras, volantée, nacrée et bordée, d'un ivoire, crème et or qui soulignaient le cuivre flambant des cheveux retenus pour chaque tête féminine sur le côté par quelques épingles en une longue anglaise légère, un peu désordonnée.

Spoiler:

Aux deux visages, un même fin masqué doré travaillé en arabesques aériennes.

Spoiler:

Elles avaient de surcroît passé toutes deux de longs gants d'un ivoire semblable et des bottines assorties.

Bon ben voilà. Parées.

Les filles partirent rejoindre Alaric. Il avait revêtu sa tenue : une longue veste à queue de pie rouge foncée irisée et brodée de noir, ainsi qu'une culotte noire et des bas de la même couleur.

Spoiler:

Très classique dark.
Bien.

April les regarda tous les trois , esquissa un sourire d'approbation et les entraîna dans les couloirs tapissés pour s'engouffrer dans l'ascensceur doré qui descendait à la salle de bal.

C'est ainsi que débarqua un séduisant inconnu masqué et costumé, deux rouquines jumelles en or pâle à ses côtés, Judith à gauche, April à droite.

Et tous trois précautionneusement cachés dans cette mascarade anonyme.

- Eh bien, mes amis, que les jeux commencent...!
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Alaric / Owen / Judith
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MessageSujet: Re: So what ?    So what ?  Icon_minitimeDim 21 Aoû - 17:30

Ils étaient là, tous les trois, silhouettes invincibles et colorées dans ce monde peuplé de spectres. La tête haute, le regard majestueux, ils bravaient l’alizé, menaçaient le ciel et narguaient la cadence sépulcrale et sempiternelle de ces êtres dénoués de vie. De ces êtres dénoués d'euphorie, et même d'allégresse. Démence de vivre ou obsession pour la préservation ? Deux pôles, deux antipodes dont la confrontation n'engageait que mépris, à jamais. Et à jamais, ils se provoqueraient. Les uns, goguenards, armés de cynisme et d’espièglerie. Les autres, frustrés mais solennel, muni de l’étincelante et stricte connotation qu'évoquait l'infamie du mot le plus provocateur qu'ait inventé l'homme : punition.

- Bon sang, ils pourraient faire un peu attention !

Oui, enfin, il fallait toujours une exception pour confirmer une règle. Exception qui n'en était pas vraiment une puisque des insatisfaits frustrés qui exprimaient leur névrose par de la violence, ou simplement et plus communément ces hommes et ces femmes que l'on surnommait " les cons", on en dénichait à chaque recoin de la belle Amérique. Un large sourire traversa le visage déjà réjoui d'Alaric Qamra. Il jeta un regard en biais à la femme qu'il tenait de sa main droite, puis à celle de gauche -la râleuse. Elle aussi, c'était une frustrée. Mais c'était encore différent. Enfin, dans le fond, c'était ce qui faisait leur charme à tous.

Ils s'arrêtèrent. Face à eux, une entrée royale pourvue d'un tapis rouge étonnamment propre malgré le flux de passants. Et encore, propre, il ne l'était guère aux côtés des vitres glacées plus étincelantes encore que du cristal de Baccarat. April commenta. Le Four Seasons, de son petit nom, Pourtant, son armature sobre de glaces et de pierres l'apparentait davantage au mortuaire hiver qu'aux turbulentes couleurs du printemps. Enfin. Ils s'avancèrent.

- Après toi.

Haussement de sourcils.

- Je croyais que, de coutume, c'était au gentleman de céder le passage à ses dames. Mais, ma foi...

Oui. Ma foi, ils n'étaient pas là pour se la jouer us et coutumes. Petite remarque pour la forme, en somme, qu'Alaric s'empressa d'achever quand ils furent entrés au sein du château de princesses du XXIème siècle où l'humaine les devança.

- Ma foi, tu ferais un chouette prince charmant. Amour du fric et belle bagnole, tenue et langage masculins, c'est tout à fait dans le ton de l'actualité, et tout à ton honneur. Mais disons que... si tu me permets de jouer les sexistes, hein... pour ce soir, comme tout se joue au XVIIIème, je me permets de te piquer le rôle. Je suis pas sûr que tu veuilles me voir en robe, et encore moins en corset.

- Disons surtout que tu ne tiens pas à t'y voir.

- Quelle différence ? Sexiste, j'ai dit. Mes désirs sont les vôtres et vos désirs qui ne sont pas les miens sont à jeter. D'ailleurs, là, je prierais bien mes poules de m'apporter un...

Il se tut. La propriétaire de la suite venait d'ouvrir la porte en bois qui les séparait de ses quartiers, et autant dire que ce qu'elle renfermait était d'une beauté et d'un bon goût éminents. De la peinture qui recouvrait les murs à celle qui embellissait quelques toiles en passant par les gravures et les sculptures, tout semblait avoir été mesuré avec précision dans l'espoir d’impressionner.

- Joli. s'empressa donc de commenter le brun. J'aurais pu rester sans voix... si je n'avais jamais vu l'architecture du septième Ciel...

- Ou de la cité des plaines d'Arda...

- Comme de Knural...

- Des royaumes d'Abrakhân...

- De l'intérieur des maisons aristocrates de Mahl...

- Ou même de Versailles !

- En fait, c'est pas si beau que ça. conclut-il finalement, refermant la porte derrière eux.

Leur hôte lui tendit aussitôt une boîte en carton où, il le savait, reposait tranquillement une série de tissus hors de prix. Elle lui indiqua le chemin vers le dressing qu'il emprunta après avoir saisit les chocolats.

- Votre ligne mes petites poules, votre ligne ! les nargua-t-il en en fourrant un dans sa bouche alors qu'il disparaissait à reculons dans la pièce indiquée.

Disparaitre, pour réapparaitre un peu plus tard et s'installer confortablement dans le sofa, ses douceurs bien calées dans sa main, contribuant à l'oisiveté du tableau. Il redressa la tête quand les jeunes femmes réapparues et la vue de leurs tenues similaires lui arracha un sourire amusé. Il fourra la dernière gourmandise dans sa bouche, bondit sur ses pieds et abandonna le déchet dans les mains d'April. Alors seulement, il commenta.

- Magnifiquement identiques !

Ou presque, mais ce n'était qu'une question de détails. Aussi leur adressa-t-il un clin d’œil avant de tendre un bras devant chacune d'elle. Ainsi, ils étaient parés pour la soirée qui promettait d'être festive. Et bien. Comme il était coutume de dire : que la fête commence !

L'étrange trio traversa avec provocation les corridors, prit l’ascenseur et se retrouva enfin dans la salle de bal. Prince et princesses perlés d'or, de diamants, de rubis et d'ébènes, ils illumineraient la pièce d'une touche de magie et d'enchantement. Sauf que le prince n'était pas charmant et les princesses loin d'être maniérées. La fantaisie arborerait une drôle de connotation ce soir... A voix basse, April annonça le départ.

- Eh bien, mes amis, que les jeux commencent...!

- Et qu'ils commencent durs. s'empressa de préciser le vampire.

Il se pencha vers la dame qui se tenait à sa droite.

- Premier défi, tu vois l'homme là-bas ? Celui qui vient de mettre la main au cul de sa femme. Sois imaginative, mais je veux que tu fasses exploser un scandale avec lui. Après seulement, c'est à ton tour de refiler un gage.

Sourire.

- Surtout, sois marrante !
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April
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MessageSujet: Re: So what ?    So what ?  Icon_minitimeLun 22 Aoû - 10:29


Okaaaayy....


Bon, ben let's go.
Elle avait déjà sa petite idée sur le scénario du scandale.

Doucement, elle s'avança vers l'homme en question puis se colla à lui par derrière, ses mains agrippant les épaules développées, elle dit doucement mais assez audiblement pour que la femme entende :

- Mon Dieu, je reconnaîtrais ces muscles là parmi tous. Je t'ai manqué ?

Sans laisser au type le temps de protester, elle enfouit sa tête dans son cou pour lui donner un léger baiser et fit courir ses mains contre la sa taille qu'elle enserra lentement.

- Chaque femme devrait avoir un homme comme toi dans son lit au moins une fois dans sa vie...En parlant de ça, tu as laissé ta rombière à la maison ? J'aimerai beaucoup ne pas avoir à attendre ton prochain "déplacement" ? Cela dit, je te comprends, c'est à se demander comment elle peut parcourir deux mètres avec cette masse de fesse flasque qu'elle se trimballe.

La femme innocemment visée passa de choquée à pivoine, tuant l'homme et la rouquine du regard.

- Dis moi que tu n'es qu'à moi ce soir, que tu vas tout recommencer comme l'autre fois...Qu'est-ce que tu m'as mis cette fois là ! rit-elle en caressant la joue masculine, féline.

- QUI C'EST CELLE LÀ ??!!! C'EST QUOI CETTE HISTOIRE ???!!!

- Mais chérie, je ne comprends pas , je ...

- TU TE FOUS DE MA TETE !!! " VOYAGES D'AFFAIRES A NEW YORK", HEIN ?!

- Chérie, retourne à la maison, je vais tout t'expliquer...Attends..

- DES CLOUS ! JE RENTRE POUR FAIRE TES VALISES ET JE NE TE VEUX PLUS CHEZ MOI, ENFOIRE ! vociféra l'épouse bafouée en fon çant vers la sortie après avoir infligé une magistrale baffe à son mari.

L'homme gronda et embarqua April dans une alcôve.

- C'était elle ma femme ! Bon Dieu ! Mais qu'est-ce qui t'as pris ?! On ne devait pas se voir avant demain ! Et c'est quoi cette couleur, je crois que tu adorais être blonde ? Je vais essayer de recoller les morceaux, retrouve moi demain soir au Ritz. Et réfléchis un peu avant de parler !!!

Il la salua et la laissa là. Elle se tourna vers Alaric et Judith, les doigts de sa main gantée devant la bouche au petit sourire dans une expression espiègle, comprenant que l'homme était un véritable infidèle démasqué ce soir.

Oops...!
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Alaric / Owen / Judith
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MessageSujet: Re: So what ?    So what ?  Icon_minitimeLun 22 Aoû - 12:55

Hilares, Judith et Alaric regagnèrent leur petit bout d'humanité qu'ils avaient pris soin d'abandonner auprès d'un homme sélectionné au hasard pour une belle partie de plaisir. Scène de ménage plus digne encore que celles qui peuplaient les séries à la con qui affluaient dans le continent. Plus belle la vie, Les frères Scott, Highschool musical,... Autant dire qu'ils avaient l'embarra du choix pour leurs séances d'abrutissement. Soit... De concert, ils lui tapèrent enthousiasment chacun dans une main en signe d'approbation, et tandis que Judith resta avec elle, Alaric, lui, continua sa route en direction du buffet.

- Subtilité, ma chérie, tu manques encore de subtilité.

Face aux étonnantes couleurs et saveurs qui s'étalaient sur la nappe rouge, un homme. Il s'appelle Richard. Seul, âgé, dépourvu de tout le charisme qu'il détenait autrefois, son compte en banque est la dernière arme qu'il lui reste. Les choses ne vont pas fort en ce moment pour lui. Après trente ans de mariage et quarante-deux ans de vie commune, il ne retrouve plus en sa femme ses passions d'antan. La flamme qu'il avait espérée voire briller à jamais s'est doucement éteinte, réciproquement. Leur relation ne tient plus qu'à un fil. C'est pourquoi, ce soir, il noierait son chagrin dans la nourriture. Il ne voulait pas...

- Coucou.

Richard redressa doucement la tête vers l'inconnu qui venait de prendre place à ses côtés. Sourcils froncés, il le reluqua un temps avant de l'imiter avec scepticisme dans son étrange salut.

- Cou...cou...

- Beh, c'est comme salut mais c'est plus cool ! rétorqua l'autre avec une mine désabusée, vidant d'une traite le verre d'alcool dont il s'était saisi.

Il le reposa sur la table.

- Oui... Ravi de susciter autant d'intérêt... fit placidement l'homme âgé alors qu'il se saisissait d'une olive verte.

- Vu votre costume hyper chic, vous d’vez être un donateur ? Cette grande nervosité me fait dire que vous avez eu des problèmes. C’est surement pour ça que cet endroit…

Alaric se saisit d'un morceau de poire enrobé de chocolat et le fourra dans sa bouche. Sans prendre le temps d'avaler avant de parler, il enchaina :

- ...vous touche de près ! Hm… j’suis sensé parler de moi ! Alors... que dire ? J’ai toujours abusé d’mes amis. Enfin. De mon ami, puisque j’en ai qu’un.

- Nous savons tous que la vie peut être dure.

Haussement de sourcils.
Le vampire leva les yeux au ciel.

- … J’suis pas gay !

- Euh, oh ! Mais moi non plus ! se défendit l'autre, insulté.

- En fait si, j’suis gay. conclut alors le brun, sourire aux lèvres. Et vous voyez le gars là-bas ? (il désigna Owen du bout de l'indexe) C’est mon amant. Et c’est aussi mon psychiatre ! Ce qui est totalement immoral pour certaines personnes... Mais ils savent pas c’que c’est qu’l’amour, n’est-ce pas ? acheva-t-il en faisant les yeux doux.

Richard, décidément écœuré par les mœurs actuels dont il s'était toujours méfié, acquiesça, outré, et s'en alla aussi vite qu'il avait foncé vers le buffet. C'est à cet instant qu'une autre petite tête débarqua.

- Tu n'es pas gay.

Petite tête dont la voix ne lui était pas inconnue.
Bah tiens, Caitlyn. Quel hasard.

- Non mais j’suis sensé dire des choses intimes aux gens… lâcha-t-il sur un ton agacé.

- Ça pourrait être des choses vraies !

- …oh, mais j’y avais pas pensé !

Mine épatée par toute l'intelligence que reflétait la jeune fille.
Ironie, cela s'entend.

- Par sécurité, je devrais faire les deux.

- C'était mon père.

- Hein ?

- Le gars, c'était mon père.

- Ow. Ok. J'vais nous soigner.

Sur ces mots, il regagna les jumelles d'une soirée.

***
Nonchalamment, l'homme s'installa tranquillement à une table où une femme seule était en train de manger. Devant lui, une assiette de dessert entamée.

- Coucou !

Devant lui, une femme assez âgée releva la tête en avalant sa dernière bouchée.

- …coucou.

L'ex-Ange attrapa un morceau de praline posé sur la gâteau et le mangea, l’œil coquin, avant de déclarer, très sérieusement :

- Je suis un… coureur…

Impassible, la femme s'enquit d'émettre une exclamation similaire à :

- Ow’…

- Pas dans le sens formules 1 et grands prix, j’veux dire… !

- Oui oui ! J’ai compris, bien sûr. le coupa-t-elle.

Brusquement, Alaric se pencha sur la table et fit mine d'attraper quelque chose au sol en marmonnant maladroitement :

- Oh... hum... kef... vous venez de me demander s’il y avait de l’arachide dans ce petit four !

- Quoi ? articula sa proie sans comprendre.

Question qui serait vite élucidée avec la nouvelle apparition qui dévoilait une demoiselle rousse de toute évidence furax. Son compagnon prit un air surpris et ravi.

- Oooow ! Chérie !

Elle, par contre, adoptait un ton bien moins cordial.

- Qu’est-ce que mon mari vient de vous dire ?! lâcha-t-elle agressivement à l'inconnue.

- Je lui… demandais si… il pouvait y avoir de… l’arachide dans ces petits fours. répondit-elle de manière loin d'être convaincante.

- Et je peux savoir où est votre épinéphrine ?!

Pas de repos pour l'ennemi.

- Ma quoi ?

- Une personne allergique ne sort jamais SANS son épinéphrine ! Montrez-moi votre sac !! s'excita l'épouse trompée en se penchant vers le sac en question.

L'autre la repousse violemment.

- Non, mais ça va pas ?! Noon !!

Judith cessa les représailles.

- En fait… ce qu’il s’est passé c’est que euuuh… j’ai trouvé qu’il était craquant et euh… je l’ai dragué.

- On s’en va ! s'offusqua la plus jeune en partant.

Les deux vampires échangèrent un drôle de regard. L'humaine, elle, sourit à Alaric alors que son mari revenait. Mari que Judith retint d'une main ferme.

- Vous êtes cocu.

- Pardon ?

Le "gay" lui fit un clin d’œil et lui tapota l'épaule avec compassion.

- Je confirme. J'suis peut-être pas homosexuel finalement... !

Sourire.
Et ils abandonnèrent là le drôle de couple pour revenir à leur alliée.

- A toi. De lancer un gage. déclara-t-il à l'humaine. Puis il précisa, à l'intention de la sacillice : Et pas de triche : pas de pouvoirs !

- Parole de vamp.
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MessageSujet: Re: So what ?    So what ?  Icon_minitime

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